C’est l’histoire d’un petit monstre tout moche. Mi-insecte, mi-humain. Un espèce de petit être triste, pour qui la vie n’est pas facile, qui porte toute la misère du monde sur ses épaules. Ce petit monstre triste, il est en chacun de nous. C’est cette chose qui nous fait perdre confiance en nous, douter, pleurer, déprimer parfois. Et c’est ce que cette chanson raconte : “Même quand tu me vois aller bien comme ça, oh mon Dieu, mes problèmes me suivent toujours ”

Cette chanson raconte la partie sombre et désespéré de l’homme, et cette petite bête, avec sa voix nasillarde, la représente. Et puis à la fin, il se rend compte, que finalement, il n’est pas tout seul sans ce cas, que lui tous ses autres potes mi-hommes, mi-insectes dans le même bateau, il retrouve ses compagnons de fortune, et chantent en coeur, et avec joie:  “Si tu vas au paradis avant moi, dis à tous mes amis, que j’y vais aussi.”

Nobody knows the trouble I’ve seen;
Nobody knows but Jesus.
Nobody knows the trouble I’ve seen;
Glory Hallelujah!

Sometimes I’m up, sometimes I’m down;
O yes Lord.
Sometimes I’m almost to the groun’;
O yes Lord.

Although you see me going so;
O yes Lord.
I have my trials here below,
O yes Lord.

If you get there before I do
O yes Lord.
tell all my friends I’m going too
O yes Lord.

Nobody knows the trouble I’ve seen;
Nobody knows but Jesus.
Nobody knows the trouble I’ve seen;
Glory Hallelujah!

Nobody Knows – Par le petit monstre moche.